Assemblé nationale
Thomas Thévenoud aux finances
Thomas Thévenoud, député de Saône-et-Loire, intègre la Commission des
finances de l’Assemblée nationale pour travailler au redressement
économique et financier de la France.
finances de l’Assemblée nationale pour travailler au redressement
économique et financier de la France.
Thomas Thévenoud devient ainsi un des plus jeunes parlementaires à intégrer la Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire de l’Assemblée nationale.
Dans le cadre des travaux de cette commission, il déclare vouloir " intervenir avec force pour défendre les intérêts des entreprises du Mâconnais-Clunisois avec notamment comme priorité la question du financement des PME qui est au cœur de son contrat de législature ". Il veillera également à préserver une fiscalité attractive pour le secteur viti-vinicole ou la filière équine, [WEB]tout en favorisant l’ouverture de 1.000 postes supplémentaires dans l’Education nationale pour la rentrée.
La Commission des finances, composée de 73 membres, s'est réunie pour la première fois jeudi 28 juin. Elle a élu comme président Gilles Carrez (UMP) et comme rapporteur général du budget Christian Eckert (PS)[/WEB].
Compte tenu des défis que la France doit relever en matière économique et financière, c'est sans doute aujourd'hui la commission la plus stratégique, ce que semble confirmer le nombre important d'anciens ministres de droite comme de gauche en son sein.
Dès la semaine prochaine, seront auditionnés Didier Migaud le premier président de la Cour des comptes sur l'audit des comptes de la Nation et Jérôme Cahuzac le ministre du budget sur le projet de loi de finances rectificatives pour 2012.
Ce collectif budgétaire sera le premier texte examiné par l'Assemblée nationale. Il permettra à la majorité actuelle d’effacer certaines injustices fiscales mises en place par le gouvernement Fillon comme l'allègement de l'ISF ou la création de la TVA sociale.
[WEB]Il prévoira de ramener le déficit budgétaire à 4,5% en 2012, sans tomber dans la rigueur ou dans l’austérité. La priorité affichée est de permettre une relance de la croissance.
Il intègrera donc 7,5 milliards d'euros de recettes nouvelles avec une contribution exceptionnelle sur les grands groupes pétroliers, un doublement de la taxation sur les transactions financières et une augmentation de la contribution des banques aux risques systémiques.
Ce sont les premières mesures fiscales du redressement dans la justice engagé par le Président de la République et le gouvernement Ayrault.[/WEB]
Dans le cadre des travaux de cette commission, il déclare vouloir " intervenir avec force pour défendre les intérêts des entreprises du Mâconnais-Clunisois avec notamment comme priorité la question du financement des PME qui est au cœur de son contrat de législature ". Il veillera également à préserver une fiscalité attractive pour le secteur viti-vinicole ou la filière équine, [WEB]tout en favorisant l’ouverture de 1.000 postes supplémentaires dans l’Education nationale pour la rentrée.
La Commission des finances, composée de 73 membres, s'est réunie pour la première fois jeudi 28 juin. Elle a élu comme président Gilles Carrez (UMP) et comme rapporteur général du budget Christian Eckert (PS)[/WEB].
Compte tenu des défis que la France doit relever en matière économique et financière, c'est sans doute aujourd'hui la commission la plus stratégique, ce que semble confirmer le nombre important d'anciens ministres de droite comme de gauche en son sein.
Dès la semaine prochaine, seront auditionnés Didier Migaud le premier président de la Cour des comptes sur l'audit des comptes de la Nation et Jérôme Cahuzac le ministre du budget sur le projet de loi de finances rectificatives pour 2012.
Ce collectif budgétaire sera le premier texte examiné par l'Assemblée nationale. Il permettra à la majorité actuelle d’effacer certaines injustices fiscales mises en place par le gouvernement Fillon comme l'allègement de l'ISF ou la création de la TVA sociale.
[WEB]Il prévoira de ramener le déficit budgétaire à 4,5% en 2012, sans tomber dans la rigueur ou dans l’austérité. La priorité affichée est de permettre une relance de la croissance.
Il intègrera donc 7,5 milliards d'euros de recettes nouvelles avec une contribution exceptionnelle sur les grands groupes pétroliers, un doublement de la taxation sur les transactions financières et une augmentation de la contribution des banques aux risques systémiques.
Ce sont les premières mesures fiscales du redressement dans la justice engagé par le Président de la République et le gouvernement Ayrault.[/WEB]