Sourcier
une science naturelle !
Les phénomènes électriques et magnétiques ont toujours exercé une profonde fascination sur l’imagination des hommes.
Les Grecs avaient remarqué que le frottement d’un morceau d’ambre avait le pouvoir d’attirer des petits morceaux de papyrus. Les Chinois ont su se servir d’une roche, la magnétite, pour inventer la boussole, avant d’utiliser la baguette pour la recherche dans le sous-sol, de l’eau et des gisements miniers…
Le troisième millénaire met à notre disposition des nouvelles technologies dont personne ne doute de l’efficacité (l’infrarouge d’une télécommande, le radar, le GPS, le bluetooth et le wifi des ordinateurs portables et des mobiles, l’utilisation du diamant, la résonance magnétique en médecine).
En même temps, l’art du sourcier se pose encore trop souvent en énigme, alors que la science l’a pourtant résolu, ne relevant ni de la magie ni de la transmission d’un don.
Petite histoire à travers le temps de cette science naturelle.
Depuis la plus haute antiquité
L’art du sourcier est pratiqué depuis la plus haute antiquité par des hommes qui ont une connaissance parfaite de la nature et une très grande sensibilité, pour capter les rayons telluriques émanant du sous-sol. Le symbole du bâton, de la baguette (ou de la furcelle) se retrouve dans toutes les civilisations de tous les continents. La Bible en fait référence avec Moïse qui fait jaillir de l’eau dans le désert du Sinaï, avec sa baguette en amandier, devant la pierre d’Horeb (Exode, chap.XVII). L’Eglise et la science vont combattre l’art du sourcier jusqu’à la fin du XIXème siècle. Un des plus vieux grimoire de magie, intitulé « Le véritable dragon rouge » paru en 1521, indiquait la méthode pour couper la baguette divinatoire de noisetier au soleil levant selon un certain rituel : « dès le moment que le soleil paraît sur l’horizon, vous prenez de la main gauche une baguette vierge de noisetier sauvage et la coupez de la droite en trois coups ». Très paradoxalement, ce seront les pères jésuites avec des médecins qui vont exprimer la véritable capacité naturelle des sourciers à exercer un talent qui n’a rien de diabolique. L’ouvrage du père Le Lorrain publié en 1693, intitulé « traité de la baguette divinatoire », les constatations du docteur Pierre Thouvenel en 1792, les recherches du Comte Jean de Tristan en 1826, sur « quelques effluves terrestres », ou encore le livre de l’abbé Paramelle, paru en 1856 sur « l’art de découvrir les sources », et le prince des sourciers l’abbé MERMET expriment une conviction : le sourcier n’est pas un sorcier ! Entre-temps, les armées ne se priveront pas des services des sourciers, tels l’armée d’Italie dans la campagne d’Ethiopie, les laboratoires de l’armée hitlérienne, l’armée américaine dans le conflit du Vietnam pour rechercher les galeries souterraines… Des scientifiques américains vont révéler en 1939, que la baguette réagit par « une baisse du tonus musculaire », ce que le professeur Yves Rocard, qui a mis au point la bombe atomique française, devait démontrer par des recherches commencées depuis 1957 par la parution tonitruante de son livre en 1962, traduit dans des centaines de langues, « le signal du sourcier ». La magnétite de fer présente dans le corps humain, essentiellement dans les articulations, est un facteur déterminant de l’explication du phénomène. Le sourcier se sert de baguettes ou d’un pendule qui réagissent par sa sensibilité supérieure à la normale, à un champ électromagnétique provoqué par des rayonnements émanant du sous-sol. Le seul don qui doit être reconnu au sourcier est d’avoir cette certitude qu’il peut annoncer, sans rechercher le pourquoi du comment, s’agissant de l’eau : la profondeur des veines d’eau, leur sens de circulation, un débit, voire leur potabilité ! Pour éviter de retomber dans la magie occulte, et éviter de parler de radiesthésie ou de magnétiseur, le sourcier moderne s’appelle désormais géobiologue, avec sa science : la géobiologie.
Depuis la plus haute antiquité
L’art du sourcier est pratiqué depuis la plus haute antiquité par des hommes qui ont une connaissance parfaite de la nature et une très grande sensibilité, pour capter les rayons telluriques émanant du sous-sol. Le symbole du bâton, de la baguette (ou de la furcelle) se retrouve dans toutes les civilisations de tous les continents. La Bible en fait référence avec Moïse qui fait jaillir de l’eau dans le désert du Sinaï, avec sa baguette en amandier, devant la pierre d’Horeb (Exode, chap.XVII). L’Eglise et la science vont combattre l’art du sourcier jusqu’à la fin du XIXème siècle. Un des plus vieux grimoire de magie, intitulé « Le véritable dragon rouge » paru en 1521, indiquait la méthode pour couper la baguette divinatoire de noisetier au soleil levant selon un certain rituel : « dès le moment que le soleil paraît sur l’horizon, vous prenez de la main gauche une baguette vierge de noisetier sauvage et la coupez de la droite en trois coups ». Très paradoxalement, ce seront les pères jésuites avec des médecins qui vont exprimer la véritable capacité naturelle des sourciers à exercer un talent qui n’a rien de diabolique. L’ouvrage du père Le Lorrain publié en 1693, intitulé « traité de la baguette divinatoire », les constatations du docteur Pierre Thouvenel en 1792, les recherches du Comte Jean de Tristan en 1826, sur « quelques effluves terrestres », ou encore le livre de l’abbé Paramelle, paru en 1856 sur « l’art de découvrir les sources », et le prince des sourciers l’abbé MERMET expriment une conviction : le sourcier n’est pas un sorcier ! Entre-temps, les armées ne se priveront pas des services des sourciers, tels l’armée d’Italie dans la campagne d’Ethiopie, les laboratoires de l’armée hitlérienne, l’armée américaine dans le conflit du Vietnam pour rechercher les galeries souterraines… Des scientifiques américains vont révéler en 1939, que la baguette réagit par « une baisse du tonus musculaire », ce que le professeur Yves Rocard, qui a mis au point la bombe atomique française, devait démontrer par des recherches commencées depuis 1957 par la parution tonitruante de son livre en 1962, traduit dans des centaines de langues, « le signal du sourcier ». La magnétite de fer présente dans le corps humain, essentiellement dans les articulations, est un facteur déterminant de l’explication du phénomène. Le sourcier se sert de baguettes ou d’un pendule qui réagissent par sa sensibilité supérieure à la normale, à un champ électromagnétique provoqué par des rayonnements émanant du sous-sol. Le seul don qui doit être reconnu au sourcier est d’avoir cette certitude qu’il peut annoncer, sans rechercher le pourquoi du comment, s’agissant de l’eau : la profondeur des veines d’eau, leur sens de circulation, un débit, voire leur potabilité ! Pour éviter de retomber dans la magie occulte, et éviter de parler de radiesthésie ou de magnétiseur, le sourcier moderne s’appelle désormais géobiologue, avec sa science : la géobiologie.