Le prochain Festival du Bœuf aura lieu les 2 et 3 décembre prochain. Cette édition s’annonce une nouvelle fois chargée en animations avec toujours au cœur le fameux concours de bovins de boucherie et tout autour, les remarquables actions de promotion de la viande charolaise qui s’y sont greffées au fil des années. 

"Le charme de l’ancien", doux euphémisme pour décrire la ferme de Nathalie et Michel Potdevin. Exploitation appartenant autrefois aux moines de Cluny, elle fut rachetée par la famille de Michel en 1911. Les années ont passé, le Domaine s’est agrandi, mais ce lieu reste imprégné d’Histoire.

David Salens, président de la section « nutrition animale » de La Coopération Agricole, invite professionnels et pouvoirs publics à réfléchir sur les moyens de relocaliser la production de protéines, d’additifs, de vitamines et d’acides aminés pour l’alimentation du cheptel. 

La signature a bien failli être annulée tant les tensions sur la mauvaise gestion des fonds Feader par la Région rendent chaque réunion avec la profession potentiellement explosive. Vendredi 10 novembre à Jalogny a finalement été signée une charte d’avenir pour les éleveurs, leurs prairies et la filière. De quoi rester « fiers d’être éleveurs bovins en Bourgogne-Franche-Comté » et surtout mobiliser tout le monde pour relever les défis futurs, à commencer par le besoin de renouveler les générations d’éleveurs. Il va falloir repartir sur le bon pied maintenant...

Avec 550 bovins dont 70 adultes, le concours de Charolles a retrouvé son niveau des bonnes années. C’est le fruit d’une conjoncture redevenue favorable au commerce des reproducteurs. L’épilogue d’une très belle saison charolaise.

Eleveuse de bovins avec son époux et son fils, Aline Goujon produit aussi des plantes aromatiques avec lesquelles elle élabore des tisanes aux vertus apaisantes.

Pour son dernier exercice, la société d’agriculture de Charolles a réalisé un bon résultat tandis que ses manifestations phares retrouvaient tout leur éclat. Mais le contexte défavorable aux bovins de boucherie de qualité et la hausse des charges inquiètent les organisateurs du Festival du Bœuf.

Après le baba au rhum, la fraise ou encore le champagne, c'est au tour de la viande charolaise de jouer les stars dans l'émission de France 3 Bourgogne, "Succulent !". Diffusée samedi 11 novembre à 11 h 10, puis disponible en replay sur le web ou dans l'application de France Télévision. 

C'est Pierre-Antoine, le dernier arrivé sur l'exploitation de la famille Bailly, qui nous fait visiter ce site entière dédié à l'élevage dans un cadre et des conditions de vie idyllique pour les bêtes. Ici le bien-être animal n'est pas un concepet, c'est une évidence, et ça se voit !

La finale des concours non reconnus de Saône-et-Loire s’est déroulée le 28 octobre dernier à Issy-l’Evêque. 90 jeunes bovins ont défilé devant les juges, parmi eux les premiers prix d’honneur des quatre foires-concours du département. 

S’inspirant de la Stabiliser anglo-saxonne, un collectif d’éleveurs est en train de créer une nouvelle race – la Redyblack. Objectif : combiner les qualités de plusieurs races existantes pour répondre aux nouvelles attentes des éleveurs et des consommateurs. 

L’association Charolais de Bourgogne a un nouveau président. Le 16 octobre dernier, le conseil d’administration a élu Vincent Pommery pour succéder à Régis Taupin. 

L'élevage bovin régional, abordé sous les angles technique et politique : c'est ce que propose la chambre régionale d'agriculture, le 10 novembre à Jalogny.

Les différents représentants de la filière Bourgogne-Franche-Comté - chambre régionale d'agriculture, Interbev, FRB, FRSEA, JA - organisent une journée dédiée à l’élevage de notre région le 10 novembre prochain à Jalogny sur le site de Ferm'Inov. Voici leur invitation.

Longtemps, la maladie hémorragique épizootique (MHE) était vue comme une affection exotique, éloignée des frontières européennes et à l’impact sanitaire limité. Moins d’un an après son arrivée sur le Vieux continent, elle a conquis cinq pays et surprend par des effets sur les bovins plus graves qu’attendu. Le manque de recul sur cette maladie complique l’adaptation de la réglementation, celle du dispositif de lutte, ou encore l’accompagnement économique attendu par les éleveurs.

Basée à Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire, l’entreprise Symbiose Technologies SAS propose un système baptisé Potabox qui permet aux éleveurs de fournir une eau de qualité à leurs animaux. Il était présenté au Sommet de l’Élevage.

Formateur à la manipulation des bovins, Christophe Lapalus souligne tous les bénéfices des équipements de contention. Quand ils sont bien pensés, ils permettent à un éleveur de manipuler seul des lots d’animaux. La prise en compte du mental des bovins compte aussi.

Le Gaec Dupont s’est équipé d’un parc de contention couvert et bien pensé. Sur cette exploitation de 200 vaches, le précieux outil de travail sert toute l’année et il participe à un meilleur suivi des animaux.