Selon une étude menée dans neuf grands pays consommateurs, le vin français écrase la concurrence par son image, mais n’apparait pas en pointe en matière d’innovation ou de tendance.

À la suite des manifestations de janvier, le Premier ministre a promis une révision des indicateurs de suivi du plan Ecophyto. Depuis lors, le ministre de l’Agriculture est à l’offensive dans les médias. Dans un contexte de stagnation de « l’usage » des pesticides – mesuré par le Nodu –, Marc Fesneau veut mettre la priorité sur la mesure de leur « impact ». C’est notamment l’objet de l’indicateur européen HRI, qui souffre toutefois de manquements méthodologiques.

Après avoir vu la semaine dernière que les vins sont concurrencés par les bières, les spiritueux et les cocktails de toutes sortes, la Business school of Burgundy (BSB) Junior consulting s’est posée la question de la communication et des innovations en la matière à l’heure du monde numérique et digitalisé. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la culture millénaire des vins a perdu de son avance sur ce terrain. Mais ce n’est peut-être pas plus mal.

Bernard Gros, chargé de Projets Vinicoles au sein d’Axima réfrigération France (ARF) ne tarit pas d’éloges sur la cellule de refroidissement rapide de raisin sur fond de changement climatique, mais difficile de connaître la facture d’un tel investissement.

Le 18 janvier, la BSB Junior consulting (Business school of Burgundy) prenait possession du Palais des congrès de Beaune pour sa 6e édition du Wine business. Avec professionnalisme, les étudiants en commerce du vin ont proposé d’intéressants débats sur comment profiter des évolutions marketing et réglementaire, en sous-titre des nouvelles règles d’étiquetage. L’occasion d’interroger d’autres filières : bières et spiritueux qui n’ont pas la même approche.

Bienvenue dans les backstages* d’une dégustation de vins de Bourgogne organisée à Londres par le BIVB. L’objectif est de promouvoir nos appellations au royaume de Charles III et cela marche puisque plus de 200 visiteurs, 47 exposants et quelques grands noms de la presse britannique, à l’instar de Jane MacQuitty pour The Times, ont fait le déplacement au Lindley Hall mercredi 10 janvier.

Le 25 janvier, la cave de Bissey-sous-Cruchaud tenait sa première assemblée générale dans sa toute nouvelle salle à l’étage au-dessus du caveau. Une inauguration à l’image du nouveau bâtiment, d’un jaune rayonnant et attrayant, couplé à une toiture photovoltaïque qui inscrit comme un symbole la cave dans une transition en douceur vers plus de respect de l’environnement, au sens large de la RSE, englobant le bien-être des vignerons, des salariés et du territoire. Et ça marche jusqu’à l’export.

Le Concours de la Saint-Vincent a rassemblé 290 dégustateurs pour évaluer les 960 échantillons de blancs, rouges, rosés et crémants, en appellation mâcon, mâcon-village et beaujolais en lice samedi 20 janvier, au Parc des expositions de Mâcon.

Dans le cadre de la commission Viticulture Œnologie Bio, l’IFV et l’ITAB organisaient en décembre deux webinaires sur la flavescence dorée (FD). Après vous avoir résumé, dans notre précédente édition, les dernières connaissances scientifiques sur le phytoplasme et la cicadelle, voici un retour sur les stratégies de lutte en viticulture conventionnelle et biologique.

Plus qu’un parcours atypique, c’est un véritable voyage initiatique qu’a réalisé Bénédicte Bonnet avant d’arriver à la coprésidence de la Fédération des caves coopératives Bourgogne-Jura (FCCBJ). Portrait d’une viticultrice dynamique et résolument optimiste.

Samedi 13 janvier, après trois ans d’absence, le concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois est revenu plus fort que jamais. Désormais organisé au lycée agricole de Fontaines, par un conseil d’administration renouvelé de l’UAV, la remise des prix se fera en deux temps pour encore mieux communiquer.

Chaque année, des fêtes s’organisent dans de nombreuses communes du département, à l’occasion de la fête des classes et des conscrits.

La Fédération des caves coopératives de Bourgogne-Jura a réuni son conseil d’administration à Buxy le 1er décembre dernier pour notamment renouveler son bureau. En effet, François Legros, président de la FCCBJ depuis 2019, avait annoncé souhaiter passer la main après quatre années d’investissement en faveur du modèle coopératif. Pour mieux représenter encore les vignobles du Jura et de Bourgogne, une double présidence prend les commandes, avec notamment Bénédicte Bonnet, viticultrice à Saint-Boil.

Maranges, Couchois et Chalonnais se sont à nouveau réunis mercredi soir, 18 janvier, à la Maison des vins à Chalon-sur-Saône, pour la remise officielle des médailles d’or du 129e concours des vins. Une première qui donnait le sourire aux 52 médaillés et au nouveau conseil d’administration de l’Union agricole et viticole de l’arrondissement de Chalon.

La semaine dernière, nous vous annoncions le lancement du Diplôme d’État de la Jeunesse, de l’Éducation et des Sports (Dejeps), mentions sports équestres, spécialités dressage ou saut d’obstacles et hunter, fruit d’un partenariat entre le lycée viticole de Davayé et le centre équestre de Mâcon-Chaintré. Mais ce n’est pas la seule nouveauté à Agro Bio Campus Davayé : le BTS GPN, gestion et protection de la nature, a vu le jour. Les inscriptions sont ouvertes pour la rentrée 2024.

Un viticulteur bordelais assigne devant le tribunal de commerce, le 11 janvier, deux gros négociants de la région qu’il accuse d’avoir violé la loi Egalim en lui achetant du vin en vrac à un prix « abusivement bas ». 

« Les Arts et le Vin ». Tel est le thème qui unira Morey-Saint-Denis à Chambolle-Musigny. Un trait d’union qui rassemblera aussi toutes les bonnes volontés de ces deux villages pour la Grande Saint-Vincent tournante de Bourgogne, perpétuant la tradition autour de Saint-Vincent, patron des vignerons.

C'est lors du colloque Ecophyto organisé par la Chambre d'agriculture de Bourgogne-Franche-Comté qu'a été présenté un bilan des actions des groupes Déphy qui permettent à des collectifs d'agriculteurs de réfléchir sur leurs pratiques, en particulier pour réduire le recours aux produits phyto.